Hôtels près de : Brestovo

si vous avez apprécié le film Shining de Stanley Kubrick, il est probable que vous allez aimé l'hôtel Lovech: dès votre entrée dans un large hall, sombre et glacial, vous éprouvez vos premiers frissons. Quoique pas un bruit ne vienne troubler l'oppressant silence, vous identifiez derrière un comptoir immensément long, deux spectres aux formes opposées: celle tout en rondeur fait offense au corps refermé sur lui même, chétif de l'autre personnage: vous attendiez des salutations? que nenni, dans un silence de plomb, vous devez expliquer cette chose tout à fait exceptionnel dans un hôtel que vous avez fait une réservation pour une nuit! Silences contrariés, voici que vous avez troublé le néant dont le bâtiment autrefois illustre semble désormais de s'accommoder: quelques recherches informatiques et puis finalement, dans un éclair de joie éteinte, on trouve votre nom dans un vieux cahier, sans doute un registre de réservation datant d'au moins 40 ans. Tout est en règle, vous pouvez monter à votre étage par l'ascenseur: des trous à la place de quelques touches de fonctionnement, quelques trépidations inquiétantes mais une ouverture de porte salutaire qui vous ramène à tous les espoirs d'une vie nouvelle. Le long, long, très long couloir qui vous mène à la chambre du fond, la vôtre, est équipée d'une moquette dont chaque tâche, chaque plissure a sûrement été soigneusement entretenue depuis des lustres: la décoration oscille entre les gris et les bruns, la lumière y est blafarde pour vous faire mieux apprécier l'arrivée dans votre chambre: là, vous vous enfermez comme par réflexe pour échapper à quelques vieux fantômes mais les couleurs sont les mêmes et attristent le vaste espace dont vous devriez profiter.

Le personnel très accueillant

le petit dejeuner n est pas trés varié

L’emplacement, l’appartement, le petit balcon et le style très typique

Attention, propreté, disponibilité, bouilloire et infusion dans la chambre, grand lit, parking devant l’hôtel, architecture